Les Langues customisées selon votre métier et vos passions.
Etre formatrice chez Business Communications est une vocation enrichissante. Nos stagiaires nous apprennent beaucoup sur leurs métiers mais aussi sur leurs passions. Par exemple, ce semestre, ce sont des passionnés de plongée qui perfectionnent leur anglais pour le voyage, et ils ont déjà mis en pratique leur cours personnalisé « English for divers, version Anne-Louise 2.0 ». Aha, non, il ne s’agit pas du langage universel des signes des plongeurs, mais la communication en anglais pour voyager et rejoindre des personnes de toutes nationalités. La prochaine fois, ils m’ont promis « you can come with us in our suitcases! »
Les formatrices en langues proches de votre réalité en entreprise.
Sans même quitter l’Oise, nos formateurs voyagent intellectuellement grâce à nos clients. Nos stagiaires nous font visiter leurs usines, découvrir des prototypes, et voir « derrière les scènes » de leurs lieux de production. Nous sommes ravis de pouvoir faciliter leurs rencontres avec leurs partenaires étrangers qui arrivent sur Compiègne, et les échanges de « best practices ».
Une école de langue qui accompagne les entreprises du Compiègnois depuis 25 ans
Notre expérience de presque 25 ans auprès des entreprises, des start-ups et des commerçants du Compiègnois a solidifié notre connaissance du monde professionnel. On est du « terrain ». On est de « votre terrain ». On parle votre langage professionnel. On connait le « jargon » de votre métier, mais aussi les spécificités de l’emploi local. Depuis 2001, en vous soutenant dans vos tâches quotidiennes à accomplir dans une langue étrangère, nous avons acquis une grande compréhension des besoins des entreprises qui font vivre notre secteur de l’Oise. Nous sommes fiers d’avoir pu former en langues des « locaux » : équipementiers automobiles, prestataires de service, grossistes, usines de chimie, ainsi que des vrais incontournables made-in-Oise (comme la Maison Drucker, l’agence Graffiti, Webhelp Concentrix, Wyz Group…).
Suivre les cours en visio pour les bonnes raisons
Bien évidemment, nous pouvons aussi organiser les séances en visio. Nos stagiaires professionnels sont parfois etre en télétravail, en voyage d’affaires, ou trop pris par le temps pour se déplacer. Les cours en visio sont un excellent moyen de conserver une régularité impérative pour continuer à progresser avec le formateur qui vous connait et qui vous suit. Chez Business Communications, les cours en distanciel, comme les cours en présentiel, sont élaborés et animés par « votre » formateur attitré.
Attention aux promesses-arnaques
Il est vrai, vous ne pourrez pas appeler au milieu de la nuit, quand vous êtes insomniaque, pour tomber sur un inconnu qui vous parlera en anglais depuis un autre pays. L’idée est assez exotique ! De plus, avec ce type de formule, l’engagement du stagiaire est sans contrainte ; comme dans une salle de sport. On paie un abonnement, mais ensuite on décide quand et où et à quelle fréquence….. hmmm, le modèle économique est bien bénéfique pour le prestataire ! Avec un taux de plus de 65 % de désistement et un surbooking intentionnel, des écoles avec ce type de fonctionnement, rentabilisent l’absentéisme sans état d’âme. Pour la petite histoire, l’école qui porte le nom d’une rue célèbre new-yorkaise a voulu que je devienne franchisée pour eux ; ils m’ont expliqué comment gagner beaucoup d’argent en renonçant à une activité « pérenne ». Oui, ils m’ont expliqué qu’au bout de 2 ou 3 ans, quand les participants auront compris la supercherie, on plie bagage, et on recommence dans une nouvelle ville, avec « le pactole » ! Hélas, vous me connaissez. J’ai refusé cette possibilité. Ce qui m’intéresse c’est la qualité, la proximité, la convivialité….
Mais revenons aux séances en anglais au milieu de la nuit, ou pendant votre « down time » dans un TGV, avec quelqu’un qui ne vous connait pas. Est-ce que ce type de cours vous fera faire des progrès en anglais professionnel ? Au fond, nous voulons tous que les cours soient créés pour nous, avec une vraie réflexion sur nos besoins actuels et nos lacunes particulières, voire nos centres d’intérêt, ou en fonction de notre façon individuelle à apprendre. Alors, l’exotisme des cours en distanciel avec Dolly à Dallas ou Penny directe des Philippines…. Réfléchissez bien. C’est comme l’économie de nos produits alimentaires. Voulons-nous un circuit court pour des produits de qualité qui ont une « traçabilité » ? Ou voulons-nous la facilité, des prix qui cassent le marché, des formateurs qui sont payés sans charges sociales « à la pige », un marketing « packaging vide », et des pratiques qui sont très clairement de la concurrence déloyale ? Voulons-nous soutenir de l’emploi éphémère, sans assurances santé et sans retraite pour des professeurs à l’étranger ?
L’école de langues « artisane » ; uniquement du customisé
Selon Wikipédia : L’artisanat est la transformation de produits ou la mise en œuvre de services grâce à un savoir-faire particulier et hors contexte industriel de masse. C’est pourquoi je dis que Business Communications est de l’artisanat.
Vive le circuit court, vive le local, vive l’emploi dans nos régions ! Vous ne serez jamais déçu par la qualité de notre « produit » : de vrais coaches pédagogues. Ca ne se compare pas à quelqu’un dans un autre pays qui est disponible à toute heure (soit « de langue maternelle », mais quelles qualifications, quelles expériences, quelle compréhension de votre besoin ?). Une autre école (devinez laquelle : avec un super marketing dont le nom n’est pas un triangle des langues, même s’ils ne tournent pas ronds) m’a proposé de donner des cours en visio payés 12 à 15 dollars américains /heure (c’est à dire, sans charges sociales). La « main-d’œuvre » en France coûte 3 fois autant. Posons-nous donc les bonnes questions quand on voit des prix très alléchants.
Des meilleurs fruits et légumes et viandes ne sont pas forcément joliment emballés, mais on sait ce qu’on mange et on connait les artisans qui y ont mis du coeur. Le circuit court, sans marketing de luxe superflu qui perpétue nos acquis sociaux, s’applique à l’enseignement des langues aussi !